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 You are the apple of my eye [R.]

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Dali Wright

Dali Wright


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MessageSujet: You are the apple of my eye [R.]   You are the apple of my eye [R.] Icon_minitimeJeu 11 Déc - 15:46

Le soleil était à son zénith et pourtant, Dali dormait encore à point fermé. Seule dans le lit, Dacre avait du déjà partir au travail, alors, qu’elle, comme toujours, aller flâner toute la journée, chose qui l’agaçait de plus en plus. La demoiselle était ce genre de personne a avoir besoin de bouger sans arrêt, Dacre lui disait souvent, que si elle souhaitait se détendre, elle n’avait qu’à venir à la piscine. Oubliait-il que sa petite femme chérie qu’il avait mit en cloque, détestait la piscine ? Ce détail avait du lui échapper. Mais, cela venait par sympathie. Ayant soudainement le soleil en plein visage, Dali poussa un grognement digne d’un ours, enfin, en un peu plus humain bien évidemment. Qui osait la réveiller dans un rêve aussi chaud que la température aux Seychelles ? De sa main, elle parcourut à tâtons la place qui était vite à ses côtés, et c’est à cet instant qu’elle ouvrit grand les yeux. Quelle heure était-il ? Son regard se posa sur le réveil qui affichait exactement 13H02. Madame Wright n’eut pas le temps de protester contre ce réveil qui devait horriblement déconnait, car son ventre criait famine. C’était une des choses qui l’agaçait le plus. Dali mangeait tout le temps, et vu qu’elle ne pratiquait plus de sport, à part le yoga, mais cela n’est pas un sport en soi, elle se trouvait complètement grosse comparait à avant, bien qu’elle trouva mignon le petit bidon qu’elle commençait à avoir. Celui qui devait être heureux, c’était Dacre, puisqu’en plus du fait qu’elle ne pouvait contrôler ses impulsions souvent sexuelles, sa poitrine avait doublée de volume. Daphnee en était d’ailleurs – faussement – jalouse. Juste un stratagème pour éviter que Dali ne sorte le légendaire « Je ressemble à une baleine. »

La jeune femme se leva finalement, malgré son air grincheux. Etait-elle grincheuse parce qu’elle n’avait pas vu son mari, ou parce qu’elle mourait de faim mais qu’elle ne savait pas cuisiner le moins du monde. Quand elle passa la porte de la cuisine, son œil fut attiré par une assiette posée sur le comptoir avec un petit mot à côté. Un hamburger avec des frites. Dali aurait été capable de l’avaler tout cru, même en étant froid, mais, elle calma ses ardeurs, et le posa dans le micro onde, en retournant son attention sur le petit mot de son mari. Il souhaitait qu’elle vienne à la piscine, cet après-midi. Voulait-il la tuée ? Non, pas tout de suite, il allait attendre la naissance du bébé pour ensuite la tuée, et pouvoir voir d’autres femmes plus belles, et plus minces qu’elle. Ce petit mot d’amour fut jeté en boule dans la poubelle. Il l’agaçait, même à distance. Son appétit put enfin être assouvi, bien qu’elle mange très soigneusement, on aurait presque cru que cette belle femme enceinte, n’avait rien avalé depuis des semaines. Elle en était presque hilarante, si son époux avait été là, il ne se serait pas gêné pour la prendre en photo. Une fois la vaisselle fait, elle retourna dans la chambre, et s’installa au bout du lit. Que pouvait-elle bien faire aujourd’hui ? Pas un seul programme qui ne l’intéressait à la télévision, elle avait vu pratiquement tout les dvd de Dacre – sauf les plus sanglants, car elle ne souhaitait pas être malade – et elle avait épuisée son stock de chips et de chocolats. Il semblait donc évident que le destin avait choisit qu’elle irait A LA PISCINE.

Dali se dirigea vers son immense dressing, en posant une main sur son adorable petit bidon, un geste machinal qu’elle avait depuis la première échographie. Ne pouvant plus réellement mettre ses petits hauts moulants, elle opta pour une des robes qu’elle n’a jamais mise, une petit robe courte – jusqu’aux genoux – blanche, serré au niveau de la poitrine, et évasive au niveau du ventre, tout à fait parfait pour cacher les petites rondeurs. Puis le blanc lui avait à la perfection. Dali se débattit avec ses beaux cheveux bouclés, ils faisaient naturellement de belles boucles anglaises, mais pour coiffer tout ça, parfois, c’était limite si elle ne souhaitait pas se raser la tête, mais tenant bien trop à ses beaux cheveux, elle prenait dix minutes pour tous démêlés, pour un résultat très joli. Les attachant finalement de façon un peu négligeait, elle attrapa son sac où elle avait tout un tas de magazines, et d’autres choses, sans oublié la crème solaire, après tout, malgré son très beau bronzage, elle ne souhaitait pas devenir aussi pâle qu’un lavabo.

Toujours la main porté sur son ventre, Dali parti finalement à la piscine. Percevait-elle déjà la piscine, que son envie de prendre ses jambes à son cou, lui fit violence. Mais madame Wright avançait toujours, après tout, elle n’était pas obligée d’aller se baigner. Remarquant déjà son époux, sûrement à faire le beau, comme toujours. Un fin sourire s’afficha sur le visage de Dali, elle appréciait toujours autant sa tenue de maitre nageur. Assis sur ce grand machin immense qui leur permettait d’avoir une vue imprenable sur la piscine, Dali s’éclaircit la voix, et leva les yeux vers Dacre, qui ne l’avait pas encore vu.


« WRIGHT. » Comptait-il descendre de ce grand machin pour venir saluer sa femme dans les règles ? Mais rapidement, son envie de paraitre autoritaire s’envola quelques peu, commençant à loucher sérieusement sur la piscine, où les enfants chahutaient un peu partout, ainsi que les femmes qui formaient toutes des groupes pour jugeait qui serait le plus beau maitre nageur. Dali déglutit difficilement, et releva son regard vers son mari. « Tu viens m’embrasser où je dois attendre mes quarante ans ? » Quoi ? Son mari lui avait énormément manqué… Puis, c’est ça les femmes enceintes.
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Dacre Wright
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MessageSujet: Re: You are the apple of my eye [R.]   You are the apple of my eye [R.] Icon_minitimeJeu 11 Déc - 19:31

    Le soleil se levait et il avait déjà dix minutes de retard. Son boulot n'était pas dur, pas épuisant, mais il avait besoin de sommeil dernièrement. Bizarrement, sa femme, Dali, voulait toujours un câlin de dernière minute. Elle avait une libido insatiable, et Dacre s'en contentait pleinement. Il y a deux jours, elle s'enfermait avec lui dans une cabine d'essayage non loin de la piscine. Hier, ils faisaient l'amour sur le plan de la cuisine. C'était une tigresse, et Dacre se laissait faire car elle s'y prenait divinement bien. Seulement, l'énergie qu'il perdait dans les câlins de deux heures, ne revenait pas surtout lorsqu'il avait du mal à dormir. Surtout lorsqu'il se levait tôt à cause de son métier, qu'il voyait d'habitude le soleil se lever à côté de la piscine.

    Bordel, il était en retard et son corps ne voulait pas sortir de son lit douillet qu'il partageait avec sa belle. Il devait prendre une douche, enfiler son maillot - ce qui s'avérait le plus facile - et aller nettoyer la piscine avant que les gens ne se dépêchent de sauter dedans pour une brasse matinale. Oh, et puis merde, il se leva, appela son collègue et le prévint qu'il serait en retard. Au moins, il put déjeuner, se laver et aller tranquillement au travail. Mike le couvrait constamment. Bref, il sortait de son bungalow, prenant le temps de boire un café en regardant sa femme dormir paisiblement, la couverture laissant apparaître ses formes désirables. Bordel, elle était magnifique et il se le disait chaque jour.

    Ces derniers temps, elle avait pris un peu de poids. Mais il ne s'inquiétait pas, et au contraire, sa poitrine n'était que plus grosse. Le genre de fantasme qu'il adorait. Sur la route de deux minutes qui précédait son arrivée à la piscine, il fuma une cigarette et alla saluer ses collègues. Deux petites nouvelles venaient ce matin, et les hommes étaient tous à l'affut. Deux stagiaires en maillot rouge, sûrement bien formés. Ils salivaient tous. Dacre lui dit s'en foutre, et alla nettoyer le bout de la piscine assigné à son nom.

    Voilà, la matinée commençait, les vieux arrivaient en premier réserver leurs transats, et puis ensuite sur les coups de midi tout le monde débarquait pour faire trempette avant de manger. Dacre du haut de son poste d'intervention, lunettes de soleil sur le nez, les observait. A sa gauche, quelques femmes riaient et il pouvait parfaitement concevoir leurs discussions; maître nageur sexy. A sa droite, un autre groupe le regardait furtivement et certaines s'essayaient à quelques clins d'oeils. Lui qui d'habitude charmait, répondait aux avances, aujourd'hui, fatigué comme il était, avait la flemme d'y répondre. Prenant une pause sur les coups de midi et demi, il alla prendre un café au bar. Et puis il revint, et reprit son poste. La barbe; personne ne se noyait aujourd'hui.

    Vers 13h30, il rappela à l'ordre un gamin qui poussait ses frères dans la piscine. Cinq minutes plus tard, alors qu'il pensait à la journée folle de hier, il se vit surpris par la voix de sa femme. Il en avait presque oublié qu'il lui avait demandé de venir le rejoindre à son lieu de travail. Il savait à quel point elle en avait peur, et il essayait juste de la voir un peu plus. Son attachement à elle devenait, je ne sais comment, plus fort. Elle lui manquait, c'était sûr mais ce dom juan avait le mal extrême des sentiments. Sursautant presque, il eut le droit à une réflexion désobligeante et se mit à sourire, car il adorait son caractère merdique.


    « MIIIIKE. Je prends ma pause ! » Il put entendre son collègue ronchonner, qu'il n'était qu'un feignant. Dacre descendit de son poste, se planta en face de sa femme et sourit doucement, portant ses mains à son visage. Ses lèvres se plantèrent sur les siennes, et il sentit les mains de Dali glisser sur son torse. Ce qui le fit sourire, encore plus. Prenant le temps de savourer ses lèvres, il posa ses mains sur ses hanches rondes et osa une petite moue. « Tu as bien dormi ? Quand je suis parti, tu t'étalais comme une bête. » Ces derniers temps, elle dormait comme un loir, alors que d'habitude, elle dormait genre cinq heures par nuit. Elle était toujours la première levé, mais attendait toujours son mari pour le petit déjeuner. Ce défaut, le fait qu'elle ne sache pas cuisiner, ne la rendait que plus parfaite. Antithèse, oui, amour aussi. Dacre planta ses yeux dans les siens, et prit sa main pour qu'ils s'éloignent un peu des autres. Les femmes le dévisageaient et à l'occasion, lançaient des piques sur sa belle femme. « Alors, tu as fait un effort. C'est bien, tu seras récompensé. » Il n'était pas pervers, juste addict à la peau de sa femme, qu'il trouvait fantastique par rapport à celles des autres, fades.
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MessageSujet: Re: You are the apple of my eye [R.]   You are the apple of my eye [R.] Icon_minitimeJeu 11 Déc - 20:51

Il était vrai que Dali était excité comme une puce, encore plus qu’avant. La grossesse n’arrangeait pas les choses, et du coup, elle passait la plupart de ses journées à faire des câlins avec son époux, enfin, pas spécialement la journée, puisque celui-ci travaillait. De toute façon, les deux nouveaux passe-temps de Dali n’étaient autres que la nourriture et le sexe. Et entre nous, elle préférait la partie sur le sexe. Ce qui ne semblait pas déplaire à son jeune mari. Mais elle essayait de calmer ses ardeurs en pensant à d’autres choses, ou en voyant ses amies de temps à autre pour parler de l’arriver prochaine du bébé, ou encore de sa future perte de poids. Un sujet très important selon Dali, parce que les kilos en trop pendant la grossesse, d’accord, mais elle voulait retrouver son beau corps après avoir accouché, c’était un fait, et elle comptait largement sur Dacre pour l’aider à faire un maximum de sport, quitte même à faire de la nage si cela pouvait l’aider à perdre ses kilos en trop.

Dali pouvait remarquablement vite changer d’humeur, et c’est pour cela, qu’après avoir retrouvée son mari, elle jeta un regard mauvais à toutes les filles qui le regardaient d’un peu trop près. Elle était déjà possessive, mais depuis sa grossesse, en plus d’avoir des doutes sur la fidélité de son mari, elle devait complètement mauvaise dès qu’une fille le regardait d’un peu trop près. Seulement elle, pouvait le regarder de façon aussi désirable, les autres ressemblaient à des chiennes affamés. Marmonnant dans sa barbe quand Dacre descendit de son poste, son attention fut vite attirée par bien autre chose, qui encore une fois, lui mettait les hormones en bataille. Pouvoir montrer aux autres femmes que Dacre était son mari, qu’elle lui avait mit la bague au doigt, ou de façon plus vulgaire, la corde au cou, celui lui donnait envie de faire une danse indienne – si elle n’avait pas été enceinte.

Madame Wright fit son petit regard innocent quand son époux prit sa pause. Il lui avait manqué, et depuis l’arrivée de leur bébé, elle était encore plus amoureuse de lui, qu’elle ne l’avait été auparavant. C’était comme si elle débordait d’amour, sans savoir comment le lui faire partager. Elle en étant presque touchante. Savourant ce baiser, puisque la dernière fois qu’ils avaient eu leur câlin, c’était il y a quelques heures, elle ne put retenir ses hormones, et passa ses mains sur le torse nu de son mari. Dali ne décrocha pas son regard, mais fronça rapidement les sourcils à cause de la question de Wright.
« Dis que je ressemble à une baleine pendant que tu y es. » Non, mais il venait de la comparait à une bête. UNE BÊTE. Ce n’était pas de sa faute si c’était lui qui la faisait dormir autant. Il avait qu’à se montrer moins séduisant, et moins… moins tout quoi. Mais son petit moment de colère passa rapidement quand elle entendit la seconde phrase de son époux. Récompense ? Cela commençait à lui plaire, un peu trop d’ailleurs.

« Je savais que j’aurais du venir plus tôt. » Dali venait de dire cela sur un ton très sucrée. En parlant de sucre… elle avait une envie folle de chocolat. Suivant Dacre, elle essayait de s’empêcher d’aller fouiller dans son sac qu’elle tenait toujours de la main droite, pour sortir une tablette de chocolat qu’elle avait finalement retrouvé avant de partir pour la piscine.
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MessageSujet: Re: You are the apple of my eye [R.]   You are the apple of my eye [R.] Icon_minitimeJeu 11 Déc - 21:26

    Ses yeux coquins, sa bouche désirable, son corps tout en courbes vertigineuses, il en avait été accro depuis la première seconde. Lors de leur premier baiser - plutôt atypique on peut l'avouer - il ne s'était pas gêné pour lui montrer à quel point elle l'attirait. Ils s'étaient rencontrés, s'étaient parlés et doucement avaient finis par s'aimer. Regards croisés, sourires et chamailleries avaient été de mise, jusqu'à un soir où ils se trouvèrent seul dans une cuisine. Le soir où tout a changé, où ils n'étaient plus amis mais simplement amants. Les baisers, les caresses, il les avait savouré et Dali était sa première vraie petite amie sérieuse. Son entourage avait douté de son amour, mais s'était rendu compte de leur erreur, lorsque Dacre présenta Dali à ses parents, à sa sœur, à ses proches. Et si vous aviez pu voir ses yeux remplis d'amour.

    Aujourd'hui, rien n'avait réellement changé, il ne se lassait pas d'elle. D'accord, il y avait eu le gros écart avec Marple, ses sentiments qui le démangeaient et surtout le dérangeaient, d'accord il avait eu quelques aventures extra-conjugales, et même s'il pouvait se justifier par un état d'ébriété élevé, il se sentait coupable de ses bêtises. Son caractère de charmeur avait repris le dessus, et il espérait juste qu'elle ne le découvrirait jamais. Car il la connaissait par cœur, après trois ans de mariage. Elle avait un sale caractère et était fière, trop fière pour pardonner. Il ne voulait pas qu'elle souffre en premier lieu, surtout à cause de ses sales manies de dom juan. Son passé le suivait, et il essayait de s'en débarrasser.

    Dans tous les cas, il ne se doutait pas que sa femme attendait un enfant. Il ne se doutait pas que dans six mois, il allait être père. Qu'il aurait un petit bébé dans les bras, un enfant à protéger, à gâter. Au fond de lui, il avait toujours voulu un enfant d'elle. Elle était magnifique, avec un caractère qu'il aimait. Elle était têtue, fière, drôle. Il l'aimait depuis longtemps maintenant, et un enfant serait le cadeau suprême, le laissant pantois devant tant d'amour. Si elle le gardait, il allait en pleurer, de joie. Il voyait ses yeux, découvrait son âme à travers ses pupilles chocolats. Il voyait à quel point il comptait pour elle, et à quel point, ils ressentaient le même sentiment d'amour infini.

    Prenant son mal en patience, il vit les yeux de sa belle fureter vers son sac à main. Il y avait un problème ? Il se mit à sourire, s'assit sur le coin d'un de ses énormes pots de fleurs et lui fit signe de venir sur ses genoux. Elle s'empressa de venir s'installer, et ses deux bras minces mais musclés entourèrent vite sa nuque. Son sourire s'agrandit lorsqu'elle se colla contre lui. Cette sensation valait de l'or. Mieux, elle n'avait pas de prix. Sa simple peau dépassant de sa robe blanche, touchant la sienne dénudé près de son short, lui donnait quelques frissons inouïes. Son nez s'échoua près de son épaule, et il y déposa quelques baisers. Son bronzage contrastait avec sa bouche plutôt rouge et il s'empressa pour sa part de déposer ses lèvres contre les siennes, pour partager un baiser excessivement tendre et évocateur de son amour, de son désir, de sa passion. Ses mains chaudes prirent place sur ses jambes fines, et il les caressa un instant avant de sourire alors que leur baiser se terminait. Il la vit esquisser un de ses sourires coquins, et cela ne le fit que pousser un petit rire.


    « C'est pas grave. Tant que tu te reposes, je veux bien que tu sois en retard. Dis, tu ne travailles pas ? Les clients manquent à la salle ? » Cette question le titillait depuis quelques temps. Elle allait de moins en moins à sa salle, alors qu'en temps normal, elle forçait sur le sport, arrivant épuisée à leur bungalow. Là, elle traînassait, regardait la TV, oubliait même de faire un jogging qui lui était si fréquent. Elle mangeait, encore et encore, devenait une vraie marmotte. Elle était malade ? Dacre s'inquiétait pour la santé de sa femme, et c'était tout naturel. Il adorait son côté tonique, celui qui l'obligeait à se lever tôt le dimanche matin pour aller courir dans la foret. Il adorait sa compétitivité, lorsqu'elle le poussait pour arriver à le dépasser dans sa course. Bizarrement, il adorait la voir en sueur, et le clou du spectacle était leur douche commune par la suite. Ou mieux, la scène, où son corps moulé dans une adorable tenue en lycra, bougeait sur une musique, à côté de femmes qui faisaient pâles figure, qui paraissait incroyablement moche à côté d'elle. Dali état magnifique en toute situation, et il adorait sa classe naturelle. « Tu serais pas malade ? Parce que je connais un médecin .. » Croisant son regard alors qu'il tenait de la raisonner, il se tut immédiatement. La petite flamme, celle qu'il avait vu lors de sa demande en mariage précipitée, revenait doucement.
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MessageSujet: Re: You are the apple of my eye [R.]   You are the apple of my eye [R.] Icon_minitimeJeu 11 Déc - 22:39

L’amour n’a jamais été un cadeau pour Dali, jusqu’à ce qu’elle rencontre Dacre, son mari. Dali avait été connu pour ses goûts difficiles en matière d’homme, passant presque pour une fille difficile, parce qu’elle voulait simplement trouver le grand amour, elle n’a pas eu à attendre très longtemps avant de tombé amoureuse de Dacre. Il était arrivé dans sa vie, comme un ange. Et malgré le fait que tout en lui l’énervait, comme ses petits sourires coquins envers les autres femmes, ou son jeu de charme, elle avait finit par aimer chacun de ses côtés, que ce soit les bons comme les mauvais. Dacre était l’homme parfait à ses yeux, il s’occupait bien d’elle, lui faisait des repas merveilleux, sortaient avec elle au restaurant quand l’envie se présentait, répondait à ses moindres désirs, et le plus important : il était amoureux d’elle. Dali connaissait la réputation de Dacre, on l’avait de nombreuses fois mise en garde, mais, l’amour ne se contrôle pas, et à présent, ils sont mariés avec un bébé qui allait arriver dans quelques mois.

La seule personne qui était pour le moment au courant, de la grossesse de Dali, était Daphnee, la cousine de Dacre. Dali avait camouflé sa grossesse comme elle l’avait pu, pas par peur, mais parce qu’elle redoutait la réaction de Dacre. Il était pourtant étrange qu’il ne se soit pas posé de questions quant au ventre rebondit de la demoiselle, ainsi que la poitrine volumineuse de sa femme. Dali avait toujours voulu être mère, quitte à rester à la maison pour s’en occuper à plein temps, et elle avait redouté le fait que Dacre ne souhaite pas avoir un enfant dans l’immédiat, c’est pour cela qu’elle lui cacha pendant trois mois, pour être sûre de le garder. Dali n’avait malheureusement pas encore trouvé de bon moments pour le dévoiler à son mari, bien que cela la tué complètement de lui mentir de la sorte. Elle disait sans arrêt que c’était à cause de sa pilule qu’elle avait une libido aussi active. Mensonge. Madame Wright qui déteste pourtant les mensonges, voilà qu’elle en servait sur un plateau d’argent, à son mari. Elle en avait honte.

Le suivant toujours en louchant sur son sac à main, elle oublia rapidement sa tablette de chocolat, pour s’installer sur les genoux de Dacre. Cette soudaine proximité ne l’a faisait que sourire un peu plus. Il fallait avouer que cette proximité ne la laissait pas indifférente, loin de la même, et quand Wright posa ses lèvres sur son épaule, sa peau s’enflamma complètement. Dali ne put émettre aucunes protestations, vu que le jeune garçon posa ses lèvres sur les siennes. Resserrant un peu plus leur étreinte, elle répondit avec passion au baiser de son cher et tendre. Les hormones je vous dis. Le baiser tourna court, avant que cela ne devienne incontrôlable, Dacre savait parfaitement calmer les ardeurs de sa femme, et c’était une bonne chose, car elle avait des difficultés à se calmer elle-même. Dali écouta les interrogations de celui-ci, et se pinça fébrilement la lèvre inférieure.

Madame Wright ne put se retenir plus longtemps, elle était persuadée que Dacre serait ravis de cette nouvelle, et elle semblait amusée, car non, elle n’était pas malade, loin de la, peut-être malade d’amour, mais, pas malade, dans le genre une bonne grippe. Dali prit délicatement une des mains de Dacre qui était posé sur ses cuisses, et la porta jusqu’à son ventre légèrement rebondit. Un fin sourire s’afficha sur le visage enfantin de la demoiselle, et elle réussit finalement à trouver les mots.
« Dans 5 mois, tu vas être papa. » Toujours leurs deux mains posaient sur le ventre de Dali, on remarquait largement qu’elle était enceinte de trois mois, et il était surprenant qu’il ne se soit pas rendu compte par lui-même. Les yeux de la jeune femme pétillaient complètement, malgré le fait qu’elle redoutait un peu la réaction de son tendre époux.
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MessageSujet: Re: You are the apple of my eye [R.]   You are the apple of my eye [R.] Icon_minitimeVen 12 Déc - 15:26

    La nouvelle lui tombait dessus, comme une épée lui aurait tranché une partie de son corps. Il resta un instant bloqué, sa main parcourant le ventre de son épouse, essayant de réfléchir à ce qu'il pourrait dire. Franchement, il n'aurait pu rêver mieux. Trois ans après leur mariage en comité restreint, elle allait lui donner un enfant. Fille ou garçon, qu'importe, il fallait qu'il/elle soit en forme. Un enfant, un bébé à choyer. La preuve de leur amour, qui démontrait à la terre entière que Dali et Dacre s'était sérieux.

    Il leva un instant les yeux vers les siens, qui brillaient de mille feux. Ne pouvant retenir un sourire, il enfouit sa tête dans la longue chevelure de sa femme, et embrassa ses épaules. Aucun mot ne sortait, il ne pouvait pas parler car l'émotion était beaucoup trop forte. Il se mordit un instant les lèvres et releva la tête vers Dali. Son regard brillait, était parsemé de petites étoiles et il se mit à sourire. Un sourire heureux, démontrant que ce bébé il l'attendait inconsciemment.
    « Et tu comptais me le dire quand tu aurais accouché ? » Ce n'était une réflexion méchante, juste une manière de voir les choses, équivoque à son état d'esprit. Peut être que son esprit l'avait empêché de voir le petit ventre qui se profilait, sa poitrine qui doublait de volume, son manque de tonus. Peut être que finalement, il avait voulu éviter le sujet pour mieux prendre la nouvelle. Et là, il ne pouvait que sourire. Un instant, il caressa son ventre sous sa petite robe blanche. Et doucement, à voix basse, il se mit à chuchoter à son oreille, toutes les merveilles du monde, des merveilles qu'il pensait. « Je t'aime. Je serais là jusqu'au bout. Jusqu'à la fin. A la vie, à la mort. » Peu de filles pouvaient se vanter d'avoir un homme aussi parfait dans leur vie. Il était attentionné, drôle. Il cuisinait bien, était poli, respectait les personnes. Il avait un passé plutôt lourd, mais était tout pour elle, comme elle était tout pour lui. Plus qu'un tout, ils formaient une famille maintenant, lui, elle et leur futur bébé. Il n'y avait meilleur sensation, et Dacre le lui fit ressentir en ramenant son menton vers lui. Les yeux se croisèrent et il se sentit ce regard doux, amoureux. Et leurs lèvres se percutèrent dans une passion sans limite, une sorte d'ode à l'amour.

    Un baiser qui dura longtemps. Des dizaines de secondes, dépassant presque quelques minutes. Il ne pouvait s'empêcher de répondre, comme elle ne pouvait s'en empêcher. Ils se dévoraient littéralement, et Dali, inconsciemment avait changé de position. A califourchon sur son mari, Dacre ne se gênait pas pour passer ses mains sous sa robe et constater que ses fesses n'étaient que plus moelleuses. Des fesses qu'il vénérait. Essayant de détacher ses lèvres des siennes, ils reprenaient un instant leurs respirations et Dacre en profita pour caresser le visage enfantin de son épouse. La future mère de ses enfants. Et doucement, se dégageant de son étreinte, il lui fit signe de rester un instant seule. Il se dirigea vers la piscine, alla parler à son collègue. Demandant sa journée de congé, il ne put refuser lorsque Dacre fit une tête de chien battu. Il obtint enfin gain de cause, et put rejoindre Dali qui l'attendait devant l'entrée. Courant vers elle, il ne put s'empêcher à nouveau de l'embrasser. On ne pourrait le voir plus heureux que maintenant. Lui, sa femme et l'embryon qui deviendrait enfant.


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MessageSujet: Re: You are the apple of my eye [R.]   You are the apple of my eye [R.] Icon_minitimeVen 12 Déc - 23:03

C’était la mère de Dali qui risquait d’être heureuse d’apprendre que sa seule enfant allait avoir son premier enfant. Dali souhaitait avoir deux enfants, ou voir trois. Elle avait toujours eu ce don tellement particulier avec ces petits bouts de chou, elle en avait toujours souhaité un, et voila qu’elle était enceinte de l’homme dont elle était éperdument amoureuse. Madame Wright avait longtemps redoutée la réaction de son époux, après tout, elle venait de le mettre au courant, alors qu’elle était au courant depuis trois mois. Une simple précaution semblerait-il. Dans le cas où il n’aurait pas souhaiter de l’enfant. Le pire dans toute cette histoire, pourtant, heureuse, c’est qu’elle ressentait une certaine jouissance à se dire qu’avec ce bébé, il était clair qu’à présent, Dacre devrait renoncer au reste des jolis minois. Un bébé était encore plus officiel qu’un mariage. Et malgré les énormes doutes qu’avait démontrés la famille de Dali envers son amour pour Dacre, l’arrivée de ce bébé arrivait à un moment simplement parfait. Et en plus de ça, Dali était complètement excitée à l’idée de le dire à sa belle-mère avec qui elle entretient une relation très bonne. Elle savait déjà qu’elle pourrait compter sur elle, que ce soit pour l’arrivée du futur bébé, ainsi que pour apprendre à cuisiner, car sans hésiter, la mère de Dacre faisait des repas complètement succulents.

Dali se pinça les lèvres quand Dacre lança sa petite réplique, certes, sans grande importance, puisqu’il ne semblait pas fâché que sa femme ne lui apprenne sa grossesse que maintenant, un peu par hasard à vrai dire. « Et bien, euh… J’avais peur que tu refuses d’avoir un bébé aussi tôt, alors, je voulais arriver à mes trois mois, pour… t’imposer… le bébé. » La façon dont elle venait de le dire, la fit rapidement culpabiliser, c’est comme si elle avait cherché à le piéger d’une quelconque façon. Ceci était loin d’être le genre de la femme de Dacre, mais, elle était peut-être un peu trop amoureuse de lui pour réfléchir à tout. Dali posa son regard heureux sur son époux, il semblait heureux qu’elle soit enceinte, et elle ferma délicatement les yeux quand il passa sa main sur son ventre, également quand il lui chuchota de belles choses à l’oreille, elle en eut les larmes aux yeux. Les hormones. « Je t’aime tellement. » Dali sanglota légèrement, pas de tristesse, mais bien de joie. Dacre acceptait l’enfant, il était heureux, et cela ne faisait qu’emplir le cœur de Dali. Ses quelques sanglots furent coupés lorsque leurs lèvres se touchèrent. Après un moment pareil, un petit câlin était de circonstance. Un câlin innocent. Dali savait se contrôler, enfin…

Le baiser se montra un peu plus pressant, et la jeune femme ne se gêna pas pour… se mettre à califourchon sur son époux. Permettant de se rapprocher un peu plus l’un de l’autre, le baiser tourna court, sauf si ils souhaitaient se donnés en spectacle, et mourir d’agonie. Une fois le baiser terminé, Dali ne put s’empêcher de faire son éternel petit sourire en coin coquin, après tout, son mari venait de la chambouler complètement. Dacre se dégagea de l’étreinte de sa femme, ce qui lui valu un petit grognement de mécontentement, Dali comprit vite pourquoi son époux était subitement parti, et elle se pencha légèrement en avant, comme si elle cherchait à savoir si quelqu’un s’approchait. Personne à l’horizon. Madame Wright en profita donc pour attraper son sac à main qu’elle avait laisser tomber à côté d’eux pendant ce petit moment, et elle sortit sa tablette de chocolat. Elle était affamée, et pas que de son mari. Cassant un carré de chocolat au lait – oui, parce que la madame, elle déteste le chocolat noir, et le chocolat blanc, elle dut rapidement l’engloutir quand Dacre revint vers elle alors qu’elle s’était dirigée vers l’entrée. Cette fois-ci, ce fut la jeune femme qui stoppa le baiser qu’ils étaient à nouveau entrain d’échangés. « J’voudrais pas choquer les enfants. » Mais bien sûr, ce n’était pas pour cela qu’elle avait arrêtée leur baiser, mais bien parce qu’il la mettait dans un état complètement second. Après avoir fait glisser les mains sur le torse de son homme comme elle s’amusait à l’appeler devant ses amies et la famille, elle lui attrapa la main, et prit son visage sérieux. « Pendant que tu étais parti, j’ai pris une décision… Ce soir… Je te cuisine un repas. » Le seule problème était qu’elle était… très… très… très mauvaise cuisinière. Elle savait juste faire les cookies, et un repas, ça ne se résume pas à un biscuit avec des pépites de chocolat.
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MessageSujet: Re: You are the apple of my eye [R.]   You are the apple of my eye [R.] Icon_minitimeVen 12 Déc - 23:17

    I was born to tell you I love you. Cette phrase était tellement réelle lorsqu'il était avec elle. Chaque minute, chaque soirée, même quelques secondes le contentaient. Il était prêt à faire des allers retours en courant pour aller la voir. Il l'avait déjà fait des milliers de fois. Lui à la piscine, elle dans la salle de fitness. Dacre qui court pour ne rater aucune minute en sa compagnie. Lorsqu'il débarquait, généralement c'était la pause. Lui en short, torse nu faisait un peu tâche par rapport aux femmes en tenue de sport, tenues plutôt moulantes d'ailleurs. Mais lui, tellement amoureux et aveuglée par elle, ne voyait que sa tenue moulante. Son petit corps musclé. Elle avait souvent le droit à un baiser langoureux équivoque de son manque pendant deux heures. C'était fou comme, rien que quelques minutes, elle lui manquait. Mais il le lui montrait trop peu.

    C'est pour ça, qu'il voulait se rattraper. Racheter sa conduite, rattraper ses erreurs, ses écarts qu'il n'aurait jamais du connaître. Elle le comblait, le rendait heureux. Ils se disputaient rarement, évitaient les conflits. Pourtant, certaines fois tout dérapait, mais généralement, ils se réconciliaient sur l'oreiller. Elle n'était pas au courant de ses aventures, et il ne voulait pas que ces histoires lui effleurent les oreilles. Elle avait trop d'importance pour lui, il ne voulait pas la voir heurter par des erreurs, alors qu'il était en état d'ébriété avancé. Généralement, il s'en voulait beaucoup ensuite, et devenait un peu distant. Puis il essayait d'oublier et se rapprochait un peu plus de sa femme. Il devenait plus attentif à elle jusqu'à la prochaine erreur. Les femmes ne pouvaient s'empêcher de le coller, c'était un gros désavantage.

    Le simple fait d'embrasser sa femme, la mère de son enfant, le remplissait d'un sentiment étrange. Le frisson, l'angoisse, l'amour tout se mêlait intensément dans sa tête et il ne pouvait s'empêcher d'aimer cette sensation. Alors, lorsqu'elle lui prit la main, il faufila la sienne chaude et il lui sourit. Mais il faillit s'étrangler lorsqu'elle lui annonca qu'elle ferait à manger ce soir.
    « Tu es sûr ? On peut aller au restaurant fêter ça sinon ? » Dans tous les cas, Dali allait faire un carnage. Elle, faire la cuisine, c'était .. horrible. La seule fois où elle lui avait fait à manger, il avait presque vomi immédiatement. Mais il s'était forcé à manger, pour ensuite exploser de rire et lui avouer que ce n'était pas fameux, mais alors pas du tout. Son problème était qu'elle ne savait pas dosé. Soit elle mettait trop de sel, trop de poivre, trop de sucre. Tout était trop. Heureusement que Dacre avait appris à cuisiner avec sa mère, sinon, ils seraient tous les deux morts de faim. Dans tous les cas, si ce soir, elle ratait le repas, ils iraient rattraper ça au restaurant. Dacre fit un effort, et lui sourit doucement, laissant sa main caresser son visage, parcourir les courbes de ses lèvres, de son nez, pendant qu'il réfléchissait un peu. Il allait le lui apprendre, comme ça, elle pourrait se vanter. Ils commencèrent à marcher, et il entoura ses hanches de son bras. Sa main naturellement s'échouait vers son petit ventre, qu'il trouvait tellement adorable.

    « D'abord, je crois que je vais t'apprendre à cuisiner. Et après, tu pourras me faire ... autre chose que des cookies. » Il laissa un petit sourire trôné sur son visage, puis leurs pas les emmenèrent vers leur bungalow, qu'ils louaient à l'année. Le complexe hôtelier était toujours plein, car aux Seychelles, il n'y avait pas de saisons. Il faisait toujours beau; chaud et les gens vivaient en tenue légère. Allez fouiller dans l'armoire de Dacre, il avait deux pulls et quelques pantalons pour faire bien. Lui, il vivait torse nu surtout du à son travail.Bref, il ouvrit la porte, et laissa le soleil entrer dans leur salon petit, mais confortable. Il était décoré à leurs goûts. Les photos de famille trônaient un peu partout, mais les photos du couple étaient majoritaires. Eux deux en train de s'embrasser, le jour de leur mariage, une photo prise à l'improviste alors que Dali tournait la tête; les deux se dévorant et riant comme deux enfants. Des scènes touchantes immortalisés. D'ailleurs Dacre s'arrêta un instant, et imagina le portrait de leur bébé trôner sur le bois de la fausse cheminée. Il se mit à sourire bêtement, et avança dans la cuisine. « Au fourneau ma belle. Tu as une idée de ce que tu veux faire ? » Elle n'allait sûrement pas résister à l'embrasser, surtout lorsqu'ils étaient tous les deux dans une pièce. Tous les deux à se regarder, lui sourire coquin et elle, yeux pétillants.

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MessageSujet: Re: You are the apple of my eye [R.]   You are the apple of my eye [R.] Icon_minitimeLun 29 Déc - 1:56

Dali n’avait jamais été le genre de filles à s’engager facilement, ni à tomber amoureuse aussi rapidement. Mais elle avait vu en Dacre l’homme de sa vie, dès leur premier rendez-vous. Dali est connu pour être difficile en matière d’homme, elle se méfit énormément d’eux, et on ne peut pas vraiment lui en vouloir avec une beauté comme la sienne. Mais elle avait trouvé en Dacre, l’homme qu’elle avait toujours cherché, l’homme qui lui donne une parfaite sécurité, et un amour inconditionnel. Il lui semblait difficile d’être sans lui à présent, souhaitant passer la plupart de son temps à ses côtés, il lui arrivait d’être grincheuse quand celui-ci devait partir au travail, et elle également. Mais voila, les choses allaient changés. Elle était enceinte, et avec un peu de chance, le patron de Dacre le laisserait passé un peu plus de temps avec son épouse qu’il avait mise en cloque comme elle s’amusait à le dire. Dacre lui offrait tout ce dont elle avait besoin, pas seulement des choses matérielles, mais aussi, aux niveaux des sentiments. Dali se sentait aimée, d’un amour sincère et pur. C’était une chose que bien des garçons avaient du mal à donné, et elle avait trouvé la perle rare. L’homme avec qui elle s’était mariée, et avec qui elle allait pouvoir enfin fonder une famille. Son souhait le plus cher.

On dit souvent que les disputes, c’est ce qui brise la monotonie dans un couple. Et les deux jeunes gens risquaient d’être servis en dispute lorsque sa grossesse serait encore plus prononcée. Le côté lunatique, et les hormones en bataille, allait, sûrement, créé quelques conflits. Dali était une jeune femme ayant très peur de la routine. Elle peut très facilement se lasser d’une personne, c’est pour cela qu’elle apprécie pimenter les choses entre son mari et elle, que ce soit au niveau des disputes improvisés, ou encore les parties de jambes en l’air inattendu. Cela faisait du bien au karma. Dacre est le premier homme contre qui elle ne protège pas son cœur, dès le départ, elle a sut lui faire une confiance aveugle, peut-être même un peu trop aveugle justement. Si seulement elle savait combien il en avait profité. Mais les mensonges ne se gardent pas bien longtemps, surtout quand il s’agit d’infidélité.

Dali se serra un peu plus contre son époux, et elle tira une moue qui voulait dire ‘qu’insinues-tu par là ?’ Certes, elle savait qu’elle n’était pas une très bonne cuisinière, mais un plat cuisiner avec amour ne pouvait être que réussi, et dans le pire des cas, Dali se ferrait pardonné par une chose que son mari ne peut lui refuser
. « Non, j’ai vraiment envie de le faire. Fais-moi confiance un peu. » On ressentait sa mélancolie face à la soudaine réaction de Dacre lorsqu’elle avait soulevé l’idée de faire la cuisine. Etait-elle si mauvaise que cela pour qu’il lui propose plutôt un restaurant ? Dali était blessé mais elle le cachait à la perfection. Elle savait mentir, et faire croire des choses aux autres. Bon, de toute évidence, elle était meilleure cuisinière pour les goûtés, Dali savait faire des gâteaux, et surtout de merveilleux cookies. Bien des personnes ne comprenaient pas pourquoi elle savait si bien faire des desserts, mais quand il s’agissait de faire des plats de résistance, elle faisait pire que mieux. Puis, sa belle-mère, c’est-à-dire la mère de Dacre, lui avait promis de lui apprendre à cuisiner, après tout, à présent qu’elle était enceinte, elle allait devoir s’occuper du mieux qu’elle pouvait pour éviter de s’ennuyer.

« Je suis sûr que je peux réussir. » Elle poussa un bref soupir avant qu’ils n’atteignent leur bungalow. Une fois la porte passait, Dali se détacha de son mari, et se dirigea vers la cuisine, comme à son habitude depuis quelques mois. Suivit par Dacre, ils eurent visiblement la même pensée quand ils se retrouvèrent ensemble dans cette même cuisine qui avait supporté leur folie. Dali ne put s’empêcher de poser un regard lourd de sens sur son époux, avant de reprendre ses esprits, essayant vainement de combattre ses hormones qui lui criaient pourtant de se jeter sur Dacre. Calme. « Du poulet. Je veux cuisiner du poulet. » Par ici, ils mangeaient surtout des repas froid à cause de la forte chaleur, puis, Dali adorait le poulet, et cela lui semblait une éternité la dernière fois qu’elle en avait mangé, c’est-à-dire, la semaine dernière. Malheureusement, ou heureusement peut-être, elle ne put décrocher le regard du torse de son homme, et s’avança vers lui, avant de se serrait étroitement contre son torse musclé. Dali dut se mettre sur la pointe des pieds pour atteindre les lèvres de son mari, et pour finalement échanger un baiser qui voulait tout dire. Elle y mit malgré tout un terme, avant de voir de sa voix légèrement enrouée comme toujours quand elle souhaitait quelque chose qu’elle se refusait. « Et si tu allais mettre un t-shirt mon amour, ça sera plus facile pour moi. » Voila qui était fait.
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