DALI WRIGHT •• you don't care how it hurts

And yes there are times when I hate you
But I don't complain
Cause I've been afraid that you would walk away
Oh but now I don't hate you I'm happy to say
That I will be there at the end of the day

•• CATCH THE SUN

• Nom(s), Prénom(s) :

Wright, Dali. Wright est en réalité le nom de son mari, son nom de jeune fille est Willems.

• Date de naissance, Lieu :

Dali est née le Dix-sept décembre, aux Seychelles.

• Origine(s), Nationalité(s)

Américaine par son père, et Italienne, par sa mère.

• Occupation:

Rapidement, la jeune demoiselle a comprit que les études n'étaient pas pour elle. Elle est loin d'être stupide, et a une culture incroyable. Elle adore la lecture, mais elle préfère le sport, c'est pour cela qu'elle est devenue professeur de fitness au Club.

•• JUST ME AND MY THOUGHTS

• Pseudo :

CHERRYTREE ou simplement Audrey

• Age :

Dix-sept ans.

• Où avez vous connu le forum :

• Commentaires :

J'overkiffe le forum, même si ça a été une pure galère au départ à cause du rôle

• Avatar :

Ma Femme Ashley Greene de mon coeur.

DALI WRIGHT •• you don't care how it hurts 14x1ond

It's like I've been awakened
Every rule I had you breakin'
It's the risk that I'm takin'
I ain't never gonna shut you out

•• SAILING FAR AWAY

•

Dali chante vraiment comme une casserole.

•

Sa mère l'a complètement traumatisée des cheveux au carré, car dans son enfance, sa mère lui coupait toujours les cheveux au carré, avec une frange. Maintenant, elle est fière de sa belle crinière.

•

Le seul plat que Dali sait cuisiner, c'est les cookies. Mais elle veut apprendre pour pouvoir faire de bons repas à son mari, même si les rares fois où elle a essayée, ils ont finit par commander une pizza.

•

Dali ne dort pratiquement pas la nuit, sauf après une nuit d'amour avec Dacre. A croire qu'il l'assomme suffisamment pour qu'elle dorme plus de cinq heures.

•

A l'école, elle a déjà fait brûler les cheveux d'un camarade. L'amitié et ses joies.

•

Dali possède un énorme dressing, mélange de vêtements, et de chaussures, bien que ses chaussures prennent plus de place que les vêtements. Surtout quand on connait la manie de Dali a laisser trainer ses chaussures PARTOUT.

•

Dali déteste aller à la piscine, car quand elle était petite, Dali avait faillis se noyer... dans le petit bassin.

DALI WRIGHT •• you don't care how it hurts K19uzn

To think I might not see those eyes
Makes it so hard not to cry
And as we say our long goodbyes
I nearly do

TELL ME YOUR SECRETS, AND ASK ME YOUR QUESTIONS

« DAPHNEE ! »

« Hein ? Quoi ? Maman, laisse-moi dormir. »

« PUTAIN DAPHNEE REVEILLE TOI OU JE TE JETE DE LA FLOTTE SUR LA TETE. »

« QUOI DALI ? TU NE CONNAIS PAS LE MOT SOMMEIL ? »

« Si, mais c’est urgent. »

« Dépêche-toi. J’ai envie de continuer ma nuit, MOI. »

« Grincheuse. »

« C’est ça. Espèce de chiante. »

« Tu vois le gars du club ? »

« Non, je vois pas. »

« Mais si, celui dont j’ai pas arrêté de te parler. »

« AAAH. LE gars du Club. »

« Oui. »

« Et alors ? T’as découvert qu’il s’épilé le torse avec la même boite de cire que toi ? »

« NOOOON. »

« QUOI ALORS ? MERDE. ABREGE. »

« ON S’EST EMBRASSES. »

« Bravo, et la prochaine étage, ça sera les galipettes dans le lit. »

« T’es trop nulle. »

Daphnee se redressa pour lever les yeux vers son réveil.

« Merde quoi. Il est 3h41 du matin. »

« Bisous ma chérie. »

« ATTEND QUE JE TE VOIS TOUT A L’HEURE. »

**

« Parle moi un peu plus du garçon qui a finalement retenu ton attention. »

« Il est magnifique. Si j’étais pas possessive, je te l’aurais montré, mais bon, les autres filles fantasment assez sur lui, alors pas la peine d’une de plus. »

« Il fait quoi ? »

« Maitre nageur. »

« C’est qu’il doit être bien bâti. »

« Tu peux même pas t’imaginer. »

« Et il s’appelle comment ? »

« Tu le connais ? »

« Non. Mais j’aimerais bien savoir qui met ma meilleure amie dans un état de transe. »

« Dacre. »

« Genre, Dacre Wright ? »

« Bah… TU LE CONNAIS ? T’ES SON EX ? MON DIEU, J’AURAIS DU M’EN DOUTER. »

« CALME. C’est MON COUSIN. »

« Ton… cousin ? »

« Oui. »

« Merde. »

« Dire qu’il y a une minute, j’imaginais un bel apollon avec de l’eau coulant sur son torse bronzé. Dégoutant. »

« Parle pour toi. »

**

« Je me pose des questions Daphnee. »

« Encore ? Par rapport à quoi cette fois-ci, si tu es sûr que ton futur gros popotin va entrer dans ton jean qui ta coûtait une fortune ? »

« Daphnee. »

« Désolé. Qu’est-ce qui se passe ? »

« Bien, écoute, ne montes pas sur tes grands chevaux. Je me fais peut-être de fausses idées. J’ai toujours été un brin parano. »

« Lâche le morceau, je n’ai pas la vie devant moi. »

« Je crois que Dacre… »

« Quoi Dacre ? »

« Mais arrête de me couper. »

« Désolé. »

« Je crois qu’il me trompe. »

Un long silence s’imposa justement après que Dali ait délivrée cette phrase. Avait-elle des raisons de croire à cela, certainement. Parfois il se montrait distant, enfin, tous les signes qui prouvaient qu’un homme pouvait tromper sa femme.

« Je crois que tu te fais de fausses idées. Il m’a toujours dit qu’il t’aimait énormément. »

« Tu sais, parfois, l’amour, ça ne suffit pas toujours pour garder un homme. »

« Oui, mais, Dacre, ça suffit pour le garder. Il t’aime, autrement, il ne se serait pas marié avec toi. Crois-moi. »

« Tu as sûrement raison. »

« J’ai toujours raison. »

Mais voila, malgré les affirmations de Daphnee, celle-ci ne semblait pas convaincue par ses propos. Dacre avait beau être son cousin, il était vrai qu’il pouvait agir de façon étrange, et qu’il a toujours conversé son petit côté charmeur. Mais de là à tromper Dali, non. Enfin, c’était ce que Daphnee espérait.

BECAUSE TONIGHT WILL BE THE NIGHT, THAT I WILL FALL FOR YOU OVER AGAIN

« MON DIEU ! Mate-moi cet Apollon droit devant. »

« Il est maitre nageur. »

« Intéressant. »

« Au moins, t’es sûr que si tu te noies, il sera là pour te secourir. »

« T’es trop nul. Il s’appelle comment ? »

« Dacre. »

« Dacre. Intéressant. »

Ses amies reprirent leurs discussions animées, alors que l’attention de la demoiselle était toujours autant portée sur le fameux Dacre. Il était de taille moyenne, brun, un sourire de dom juan. Tout ce qui Dali détestait le plus chez les hommes, et pourtant, LUI, retenait son attention. Chose peu facile quand on sait la réputation de la demoiselle. Dali est une demoiselle très désirée, elle repousse souvent les avances des hommes, sans pour autant se priver de temps à autre. Mais lui, c’était différent. Leurs regards s’accrochèrent, un échange de sourire, quelques gloussements lors de la sortie du bel Apollon du restaurant. Il était clair qu’elle n’en resterait pas là.

**

« DACRE ! »

« Merde. QUOI DALI ? »

« JE RÊVE OU TU AS JETE MON MAGAZINE DE MODE ? »

« Euh… Non, je n'ai pas touché ton magazine. »

« Tu mens très mal. »

« Et alors ? Ce n’est qu’un magazine. »

« NON, justement. C’est genre, LE MAGAZINE. »

« Tu vas me faire croire que je t’ai ruiné ta vie en le mettant à la poubelle. J’ai simplement cru qu’il était à ma sœur. »

« T'AS RUINE MA VIE. »

« Pauvre de toi. »

« M’OBLIGE PAS A TE TAPER AVEC CETTE CUILLERE EN BOIS QUI SE TROUVE A MOINS DE 1 METRE DE MOI. »

« Je te connaissais pas violente. »

« Quand on touche à quelque chose qui m’appartient, je peux me montrer très violente. »

« C’est pas une petite femme dans ton genre qui va me faire peur. »

Dali s’approcha du jeune homme, et malgré sa petite taille, comparait à Dacre, elle tira d’un coup sec sur les cheveux court de Dacre.

« Aïe. »

Le jeune homme avait peut-être peu de cheveux comparait aux filles, mais, vu la façon dont Dali les avaient tiré d’une poigne ferme, cela semblait surprenant que quelques cheveux ne se soient pas arrachés du crâne du jeune garçon. Attrapant la cuillère en bois qui se trouvait proche de Dali, celle-ci commença à taper des brefs coups sur Dacre, qui lui, ne put se protéger qu’avec une poêle. La scène était hilarante, la détermination de Dali était sans faille, et elle semblait prête à déversé sa colère sur le beau garçon. Mais voila, n’acceptant pas les coups bien longtemps, Dacre la bloqua soudainement. Surprise, elle se débattue du mieux qu’elle pouvait, mais la poigne du jeune homme était bien plus forte que la sienne.

« LÂCHE MOI SALE PERVERS ! AU VIOL ! AU VIOL ! AAAAAAAAAH ! »

Très bonne comédienne en plus de ça, elle fut d’autant plus surprise quand… Dacre posa ses lèvres sur les siennes. Elle ne s’y était pas attendu, et avait encore les yeux grands ouverts à cause de la surprise. Il ne lui fallut que quelques secondes de réaction pour répondre au baiser de Dacre, tout en passant ses bras autour de son cou. Depuis ce jour, ils sont amoureux l’un de l’autre, et se sont même mariés.

I WAS BORN TO TELL YOU I LOVE YOU

Comme chaque jour de la semaine, Dali se levait tôt le matin pour pouvoir faire un brin de sport avant d’aller travailler. Elle dormait peu, et, il n’était pas rare qu’elle soit debout à cinq heures du matin, entrain de faire son jogging matinal pendant que le soleil se lève à l’horizon. Après son heure de footing, elle retourna chez elle, se prit une bonne douche, et parti au travail. Un jour plutôt banal, enfin, pas aussi banal, si Dali savait ce qui l’attendait en fin de journée. Faisant comme toujours ses cours de Fitness, c’était une chose qu’elle appréciait particulièrement, malgré le fait que quelques personnes de la gente masculine avaient tendance à envahir les lieux dès que le cours commençait. La journée passa à une allure folle, et bien évidemment, la chère demoiselle ne put s’empêcher d’aller voir Dacre, bien qu’ils ne soient pas bien loin de l’autre. L’amour. Fermant la salle de fitness, Dali semblait avoir passé une longue journée au paradis. Les traits légèrement tirés, elle semblait pressée de rejoindre son lit douillée.

Arrivée à l’hôtel, le choc total. Alors qu’à cette heure-ci du soir, le hall de l’hôtel était souvent emplit de tout un tas de personnes souhaitant prendre une chambre pour la nuit, voila que l’hôtel était d’un silence inquiétant. Personne.

« Il y a quelqu’un ? »

Aucune réponse. Au moins, maintenant, elle était sûre que ce n’était pas une plaisanterie de mauvais goûts. Ou alors, s’était-elle endormie dans la salle de fitness, et elle ne se réveillait pas ? Quelle imagination. Dali avança sagement jusqu’au comptoir de l’hôtel, et son regard fut attiré par une enveloppe portant son nom. Elle l’ouvrit soigneusement. LA FIN DU MONDE ? Elle reconnu le numéro de la chambre Présidentielle. Aucune signature. Peut-être un serial killer qui souhaitait l’a tué ? Non. La Chambre Présidentielle était dans les derniers étages, mais heureusement pour elle, l’ascenseur fonctionnait bien ce jour-là, elle n’aurait pas eu le cœur a monté tout les escaliers de toute façon. La porte était légèrement entrouverte, la poussant, puis la refermant doucement, son regard se posa sur Dacre qui était sagement assis sur le canapé de la suite, un air paisible sur le visage. Dali s’approcha de lui, un fin sourire sur la bouche. Cette chambre était hors de prix, cela devait être vraiment important s’il l’avait fait venir jusqu’ici. Dacre attira Dali contre lui, la serrant dans ses bras.

« Ce soir, c’est un soir spécial, exceptionnel. »

« Quoi ? Tu as une promotion ? »

Dacre arqua un sourcil, et poussa un soupir, avant de retirer ses bras qu’il avait, il y a quelques secondes, entouré de Dali, elle était en face de lui, debout, ses bras autour du cou de Dacre.

« Bah quoi ? Je n’ai pas l’habitude que tu fasses des trucs romantiques. »

« Ca te fait pas plaisir ? »

« Si… mais pourquoi tu fais la gueule d’un coup ? »

« Pour rien. »

« Allez. Dis moiii. »

« Jamais. »

« Tu veux que je boude ? »

« Mouais. Vu ta réaction à mon effort, j’suis pas sûr que tu vas dire oui. »

« Oui à quoi ? »

« Je ne sais pas… je pensais qu’on pourrait se marier ? »

Il était clair que c’était l’unes des dernières choses dont Dali s’était attendu. Lui ? Vouloir se marier ? Avec elle ? Elle le fixa, il lui semblait difficile de trouver les mots tellement la surprise avait été grande.

« Tu es entrain de me demander en mariage ? »

« Et bien, oui. On va dire ça comme ça. »

« MAIS TU LE FAIS MËME PAS DANS LES TRADITIONS. »

« Tu veux que j’me mette à genoux ? D’accord. Tu veux que j’prenne un air d’hareng frit ? D’accord. Tu veux que je t’embrasse avec amour et passion ? Pas de problème. »

Dali le regarda avec des yeux admiratifs, son rêve d’enfant devenait réalité. Un mariage de princesse. La future Wright ne put retenir quelques larmes de joies.

« Pleure pas, j’te demande pas de te sacrifier pour moi. »

Dali étouffa un rire amusé, et le regarda dans les yeux.

« Je veux bien devenir ta femme mais j’espère que tu es sûr de toi. »

« C’est toi, et personne d’autre en ce monde. »

« Très bien. »

« Bon, et maintenant, si on profitait de cette chambre ? Elle coûte les yeux de la tête. »

Pour seule réponse, elle l’embrassa, et le poussa sur le lit. Un des plus beaux jours de la vie de Dali, c'était évident.